Extraits de « En ce temps là... MASNY » Gérard COURTECUISSE – Août 1972
MASNY tel qu'en LUI-MEME ...
...
- Quelques pas dans le Chemin des Loups l'amène «Chemin de Lewarde» qui reprend la direction de la butte.
Et il remonte, harassé, vers l’église qui semble maintenant le presser de rentrer.
Il débouchera encore «Chemin de Rocour » qui descend vers le Pavé.
Les plantations reprennent cependant jusqu’à la lisière du village.
- C’est la chapelle N.D. de Pitié datant de 1708 qui signale l’importante voie qu’est le « Chemin St Martin», non plus planté, mais véritablement envahi par une épaisse végétation, donnant accès à notre fameuse Rue des Loups.
- En face, occupée par M. Fiévet, métayer du Baron de la Grange, la «Cense des Mottes », desservie par un spacieux mais bref chemin.
La voûte de l'imposante porte, fortifiée d’allure, découvre une cour carrée complètement enclose de corps de bâtiments.
Exploitation suffisamment considérable pour donner à la rue l'appellation de « Pavé de la Cense des Mottes ».
- Un peu plus haut, à la limite de l'agglomération où les constructions sont encore bien peu nombreuses, prend naissance le «Sentier du Marais» conduisant lui aussi à la cense du même nom.
- Après un dernier coup d’œil jeté en passant à la vaste «Cense» du Sieur Lempereur, fermier du seigneur, attenante au « marché », bordant la route, dont la porte cochère centrale laisse entrevoir l'activité,
C’est d'un pas lourd que notre tenace ami franchira les dernières coudées de la côte aboutissant à « St Jean », terme du circuit.
La boucle est bouclée.
...