Gérard COURTECUISSE - 2005-
D'après les archives municipales, paroissiales, départementales, belges et britanniques, ouvrages de référence et avec le concours du Service archéologique du Douaisis.
. Au XVlll° siècle, la bourgade conserve toujours, de la «Tour» à la «cense d'Esclevain (front Poste-boulangerie) », cette configuration linéaire. La «cense des Mottes» s'ancrant, isolée, face au chemin St-Martin gardé par la chapelle N.D. de Pitié de 1708.
Deux moulins à vent sur pivot se sont implantés. Aux abords de l'agglomération (terrain de foot), un « tordoir » - l'autre, à céréales, en bordure de la N 45 (ex-chaussée de Douai à Bouchain, datant de 1726) sous la protection de deux chapelles:
. 1783 : Masny est détaché du Hainaut et réuni à la Flandre Wallonne.
. La population triple: 170 habitants environ en 1406 et en 1780, approximativement 500.
Dans la campagne agreste sinuent les antiques quémins et leurs non moins anciennes voïettes.
Le décret du 15 janvier 1790 crée les départements et leurs subdivisions.
Dans le désormais département du NORD, Masny se voit rattaché au canton de LEWARDE, district de DOUAI.
25 janvier 1790 : première municipalité (un maire - un procureur - un secrétaire-greffier)... avec en sus, le 18 avril, un « trésorier généralle ».
Dans le désormais département du NORD, Masny se voit rattaché au canton de LEWARDE, district de DOUAI.
25 janvier 1790 : première municipalité (un maire - un procureur - un secrétaire-greffier)... avec en sus, le 18 avril, un « trésorier généralle ».
